image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

Ukraine : Stop à la guerre !

Communiqué
de presse

Ukraine : Stop à la guerre !

Mobilisons-nous pour rétablir la paix, le dialogue et le respect

Les images que nous découvrons au fil des heures, de la guerre en Ukraine nous bouleversent. Rien ne justifie l’opération militaire ordonnée par Vladimir Poutine. Le Président russe a décidé d’engager son pays dans un engrenage meurtrier dont nous ne mesurons pas à cet instant les conséquences pour la paix dans toute l’Europe. 


Nous condamnons avec la plus grande fermeté l’ultranationalisme guerrier de Vladimir Poutine comme son mépris des peuples, du droit international et de toutes les instances multilatérales. 


L’histoire ne nous a que trop appris à quelles extrémités cette fuite en avant peut conduire. Quel prix humain, économique et écologique des populations innocentes devront-elles encore payer ? 


Dans ce moment particulièrement difficile, la CNL pense aux femmes, hommes et enfants qui commencent à tomber sous les assauts militaires. Elle appelle à tout mettre en œuvre immédiatement pour protéger les populations ukrainiennes et également de l’autre côté de la ligne de front, les populations russes qui sont aussi touchées. 


La CNL demande encore à la France, à ses institutions comme à nos concitoyennes de peser de toutes leurs forces pour mettre fin à cette engrenage mortifère et rétablir la paix, le dialogue et le respect. 


La CNL soutient la proposition sous l’égide de l’ONU d’une conférence internationale européenne de coopération et de sécurité collective qui avec toutes les parties prenantes du conflit trouvent le chemin d’un règlement politique pour restaurer la paix et le droit international. 



Contact presse

Fabien Podsiadlo-Régnier,
Président Fédéral
contact@cnl59.fr – 03 20 07 09 58
Retrouvez toute l’actualité de la CNL sur notre site Internet : cnl59.fr

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

Un modèle belge ? Infraction en cas de logement vacant

Laisser un logement vacant va devenir une infraction en Belgique dès le 1er septembre par une prise de mesure en Wallonie (région francophone) visant la lutte contre les logements vides et permettant ainsi d’assurer aux ménage une capacité à se loger.

 

Tout logement avec une consommation d’eau inférieure à quinze mètres cube par an ou en électricité, inférieure à cent kilowattheure par an sera considéré comme inoccupé.

 

Ces mesures sont des réponses à un constat flagrant et bientôt mondial :

> Il existe un trop grand nombre de ménages sans logement, ou mal logés, tandis que de nombreux logements sont inoccupés mais la propriété d’une seule personne.

Les communes pourront alors engager un dialogue avec le propriétaire et mettre en place une réquisition douce ou encore une taxe. Une action en Justice sera également possible et des amendes (entre 500 et 12 500€ par logement inoccupé) sont prévues pour les longues périodes sans occupation.

 

Cela sera mis en œuvre par les autorités administratives ou encore par les associations agrées par le Gouvernement visant ainsi un déploiement le plus large possible.

La Belgique, véritable précurseur en la matière doit inspirer nos modèles et viser une uniformisation de ces mesures afin de lutter contre la crise du logement en cours et dont les retombées sont loin de faire l’objet d’une anticipation.

 
Source : Le figaro Immobilier, 25/01/2022
image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

Le pouvoir d’achat : un sujet qui fâche ?

Selon les enquêtes d’opinion, notamment à la veille des élections présidentielles, il existe toujours des sujets dont on ne parle pas assez.

 

Par exemple, la question du pouvoir d’achat des français.es.

Les divers candidats vont proposer des solutions comme abaisser la TVA à 5,5% sur l’énergie pour Marine Le Pen, n’agissant alors que sur un pan des questions autour du pouvoir d’achat et de l’inflation. 

Jean-Luc Mélenchon promet pour sa part, une loi d’urgence sociale prévoyant un blocage des prix.

Yannock Jadot, Anne Hidalgo, Fabien Roussel ou encore Valérie Pécresse, proposent des hausses de salaire plus ou moins élevées, plus ou moins proches de la réalité de vie des ménages.

Il faut rester vigilant face à tant de promesses sur un sujet à ce point périlleux, parfois qualifié de « serial killer électoral ».

Le Gouvernement peut avoir prise sur une partie de l’inflation, avec la baisse des taxes, le chèque énergie… 

Mais selon Hervé Peleraux, économiste à l’OFCE (observatoire français des conjonctures économiques) « ces mesures [ne permettent que] d’atténuer les effets de l’inflation, pas de répondre à la mécanique inflationniste elle-même, qui est créée par le marché ».

Source : Vingt Minutes, 17/01/2022
[qui cite, depuis Le Monde : les “experts”; l’OFCE]

image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer

Et les blancs sont partis …

Et les blancs sont partis … d’Arthur Frayer-Laleix, triste constat des discriminations en France

 

Le journaliste Arthur Frayer-Laleix vient de publier un livre témoignant de la fracture ethnique et sociale des quartiers populaires de France. Il souligne au passage le malaise politique qui règne autour de ces questions très en vogue en période électorale.

À quelques mois de l’élection présidentielle, ce livre au plus près du terrain tente d’apporter des pistes pour soigner les maux de notre société. Pour cela, il commence par déplorer la récupération politique de ces enjeux, notamment par l’extrême droite, appuyée par le silence gênant de la gauche traditionnelle.

L’auteur souligne que « par le reportage, le constat est simple à faire. La République dit qu’elle ne fait pas de distinction selon les origines. Mais dans certains collèges, il n’y a quasiment pas un enfant blanc. Les habitants des quartiers le déplorent aussi ». 

Le premier levier d’action : le logement, notamment social. L’attribution des logements sociaux lors des commissions d’attribution est fortement impactée par les discriminations. Arthur Frayer-Laleix s’appuie sur des travaux universitaires, la jurisprudence des juges ou le travail associatif pour dénoncer ce constat alarmant. Il est indispensable de revoir la politique du logement social et prévoir un travail sur l’école. Pour ce journaliste de terrain, « même dans les quartiers mixtes, les parents blancs sortent leurs enfants du circuit au moment de l’entrée au collège et l’école se ghettoïse ». 

Pour ce journaliste de terrain, solidarité n’est pas synonyme de communautarisme. Pour ce dernier, l’extrême droite adopte un discours simpliste de la vie des quartiers, rejetant toute analyse des causes. Par exemple, l’extrême droite « tente d’imposer l’idée que les gens d’une même origine sont dans un même quartier car ils ne veulent pas se mélanger au reste de la population française. C’est faux. Par contre, il y a des logiques de communauté et d’entraide. L’extrême droite développe une rhétorique raciste et xénophobe sur ces questions. En face, la gauche est hélas inaudible ».

En gardant le silence, selon ce dernier, la gauche a perdu un combat. Ce sont donc les jeunes qui reprennent la cause antiraciste. Plus décomplexés, les jeunes et les associations s’emparent des mots pour dire les choses et les nommer.

A cela l’auteur ajoute que « notre tradition républicaine ne reconnaît pas de différence officiellement entre les citoyens. C’est un idéal noble vers lequel il faut tendre. Mais s’il se contente d’être un discours de pure forme, s’il n’est pas suivi de politiques, il produit l’opposé de ce qu’il prétend combattre ». 

 

Source : « Entretien : « dans certains collègues, il n’y a plus d’enfants blancs », souligne Arthur Frayer-Laleix », Ouest France, 16/01/2022

 
image_pdfTélécharger en PDFimage_printImprimer
Contactez-nous :
  • Par Mail :   

contact@cnl59.fr

  • Par voie postale :     

Confédération Nationale du Logement
Fédération du Nord
42/1 rue de tournai
59000 Lille

  • Permanence téléphonique : 

03 20 07 09 58

Le lundi de 8h30 à 12h30
Les mardi et jeudi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h00                            

Merci de ne pas encombrer nos lignes
et de respecter les horaires !

Dans un message vocal, nous vous demandons de nous laisser votre identité, vos coordonnées téléphoniques et votre mail, ainsi que l’objet de votre appel.
Si vous le souhaitez, vous pouvez déjà regrouper les informations et les différents documents, et nous les faire parvenir par mail ou par voie postale.

  • Entretiens en présentiel :

Uniquement sur rendez-vous.

Par ce formulaire :