Depuis toujours, l’Homme n’achetait que ce dont il avait besoin. Seulement voilà, le capitalisme a fait son apparition et avec lui, la publicité. L’insidieuse publicité qui s’est introduite dans nos vies et a créé ce désir du “toujours plus”.
Le crédit a, lui aussi, vu le jour et nous a permis d’obtenir ce que l’on voulait immédiatement, sans attendre, simplement en payant plus tard.
Sous l’emprise de manipulations subtiles, l’Homme en veut aujourd’hui, encore plus.
Le phénomène de la surconsommation est intensifié par ce que l’on appelle l’obsolescence programmée. Kesako ? Cette pratique est définie par la loi comme « l’ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise à réduire délibérément la durée de vie d’un produit pour en augmenter le taux de remplacement ».
L’obsolescence programmée nourrit ainsi la surconsommation mais également la surproduction.
Elle participe à l’accroissement des déchets, l’intensification de la pollution ainsi qu’à l’augmentation du gaspillage des matières premières et d’énergie.
Mais saviez-vous que cette nouvelle vision du besoin se payait au prix du sang dans d’autres pays ?